Ecologie

Les gardiens du Paradis


Les fous de Dieu et
les fautes de la politique

 



Le Pére,


le Fils,


et le Simple d'Esprit...


...et le gladiateur de la maison divine!
 


 En rappel à tous les gardiens du Paradis...
 


Instantané d'une érection Terrestre (document rare)


Liberté, Egalité, Fraternité entre êtres vivants.


Toutes les religions incitent au nom de Dieu à faire des enfants en interdisant l'avortement, l'organisation médicale prend soin d'eux et de son chiffre d'affaire par la même occasion, et la science militaire prend en charge la mise à mort. Bons comme méchants.

Mais un tel résultat (voir la photo), n'est l'oeuvre de Dieu mais plutôt celle des hommes et des certains scientifiques.


Le sida continue de s'étendre 

Le dernier rapport de l'Onusida sur l'épidémie dresse un constat accablant : fin 2003, 40 millions de personnes sont infectées par le VIH dans le monde. Malgré la mise au point de traitements, le virus poursuit sa progression. 

25/11/2003 - L'épidémie de sida n'en finit plus de s'étendre. Le rapport annuel du Programme commun des Nations Unies sur le sida (Onusida) intitulé «Le point sur l'épidémie de sida dans le monde», publié aujourd'hui, dresse un constat accablant de la maladie.

Fin 2003, l'ONU-sida estime que près de 40 millions de personnes sont infectées par le virus. En un an, 5 millions de personnes ont été nouvellement touchées, plus de 3 millions de personnes sont décédées du virus. Depuis l'arrivée du VIH au début des années 80, la maladie a tué près de 15 millions de personnes.

L'Afrique subsaharienne détient tous les records avec près des deux tiers des cas au monde (26.6 millions de personnes contaminées). Les femmes y sont nettement plus susceptibles d'être infectées que les hommes. En Asie et dans le Pacifique, plus d'un million de personnes ont contracté le VIH en 2003 et 500.000 sont décédées. Même si le nombre de personnes touchées par la maladie dans ces pays reste inférieur à 1% de la population totale, ce chiffre cache de fortes disparités, comme en Chine où certaines régions comme le Guangdong ou le Xinjiang accueillent des taux élevés de malades.

Enfin, la mortalité continue de baisser «dans les pays à revenu élevé», Amérique du Nord, Europe de l'Ouest ou Australie, grâce à "la mise à disposition à grande échelle des traitements antirétroviraux". Le 1er décembre, lors de la journée mondiale contre le sida, l'Organisation mondiale de la santé et l'Onusida lanceront une initiative commune : "3 millions d'ici 2005" afin de permettre l'accès de trois millions de personnes aux antirétroviraux d'ici la fin de l'année 2005. Aujourd'hui, les antirétreoviraux sont réservés dans leur grande majorité aux pays développés.

 

Original de cet article : CyberSciences

Isabelle Cuchet
 


...and no bombs.


Propos sur la Palestine


SARS -Pneumopatie


Radioactivité



Les éoliennes : quelles retombées au niveau local ?

 
 Un fakir rend les médecins perplexes 


 

Des médecins et des experts sont déroutés par un hermite indien qui prétend ne pas avoir mangé ou bu quoi que se soit pendant plusieurs décennies - mais est toujours en parfaite santé

Ahmedabad, Inde. 

Prahlad Jani, un homme saint, ou fakir, qui a dépassé 70 ans, vient de passer 10 jours sous observation constante à l'hôpital Sterling, dans la ville indienne occidentale d'Ahmedabad.

Durant cette période, il n'a rien consommé et n'a rejeté ni selle ni urine, selon le surintendant principal de l'hôpital, le Dr Dinesh Desai.

Pourtant son état mental et physique est bon, indiquent les médecins.

La plupart des personnes peuvent vivre sans nourriture pendant plusieurs semaines, le corps puisant dans ses stocks de graisse et de protéine. Mais l'humain ordinaire peut survivre pendant seulement trois à quatre jours sans eau.

Les disciples des saint-hommes indiens et des ascétes leur ont souvent attribué des puissances extraordinaires, mais de telles puissances sont rarement sujettes à inspection scientifique.

Des bains de bouche

"Une série d'essais effectués sur lui montrent que son fonctionnement de son corps est celui d'une personne normale," a dit le Dr Desai.

M. Jani passe la majeure partie de son temps dans une caverne situé près du temple d'Ambaji dans l'état du Goudjerate.

Il a passé ces 10 jours dans l'hôpital dans une salle spécialement préparée, avec une salle de bain scellée et une surveillance vidéo constante.

Pour aider les médecins à vérifier ses réclamations, M. Jani a accepté d'éviter de se baigner pendant son temps dans l'hôpital.

Le seul fluide qui lui fut permis était un peu d'eau, d'employer pour des bains de bouche.

Cent millilitres d'eau lui ont été donnés, et rassemblé et mesuré dans un becher aprés recrachage dehors, pour vérifier que rien n'avait été bu.

Remerciez la déesse

Un rapport de l'association des médecins d'Ahmedabad indique qu'en dépit de l'absence d'absorption d'eau, de l'urine a néanmoins semblé se former dans sa vessie - mais uniquement pour être réabsorbée par les parois de la vessie.

À la fin de son observation, les médecins n'ont noté aucune détérioration en son état, autre qu'une légère baisse de poids.

"Je ne ressens aucun besoin de nourriture ni d'eau," dit M. Jani, qui déclare avoir été béni par une déesse à l'âge de huit ans et a vécu en cavernes depuis lors.

Il a grandi dans le village de Charod dans la zone de Mehsana et porte la robe d'un fidèle de la déesse Ambaji - un vétement rouge s'apparentant à un sari, un anneau de nez, les bracelets et les fleurs cramoisies dans les cheveux.

Il porte également la marque de "tika" en vermilion sur son front, vue plus souvent sur les femmes indoues mariées.

Ses adeptes l'appellent "mataji" ou déesse.

Davantages d'essais

Il dit avoir survécu plusieurs décennies sans nourriture ou eau en raison d'un trou dans son palais.

Les gouttes d'eau filtrent au travers de ce trou, dit-il, l'alimentant.

"il n'est jamais tombée malade et peut continuer à vivre comme ceci," a dit Bhiku Prajapati, l'un des adeptes de M. Jani.

"Un trou dans le palais est un phénomène anormal," dit le Dr Desai.

Son collègue, le Dr Urman Dhruv, a indiqué à la BBC qu'un rapport médical complet sur les 10 jours d'observation de M. Jani's est en cours de préparation.

Les médecins disent qu'ils ne peuvent pas vérifier qu'il n'ait rien mangé ni bu pendant des décennies - mais en observant son exploit dans des conditions de laboratoire, ils espèrent en apprendre plus au sujet du corps humain.

Il est probable que les médecins veuillent encore examiner M. Jani afin de résoudre le mystère médical qu'il représente.

Original de cet article : BBC

Rajeev Khanna

Espérons qu'il soit immunisé contre les maladies hospitalières!


 

 Des pesticides dans l'eau potable 
 

De petites quantités de pesticides se trouvent dans plusieurs sources d'eau potable du Québec. 

Canada 

24/11/2003 - Le ministère québécois de l'Environnement détecte régulièrement des résidus de pesticides dans des sources d'approvisionnement en eau potable au Québec. Des quantités très faibles, mais qui préoccupent tout de même certains médecins présents au colloque Pesticides et Santé qui se tenait à l'Université de Montréal du 19 au 21 novembre.

« Outre quelques exceptions, les quantités détectées sont toujours très en deça des seuils de toxicité, note Richard Desrosiers, du Ministère de l'Environnement du Québec. Mais évidemment, on aimerait mieux ne pas en trouver du tout. »

Les résultats des programmes de suivis du ministère de l'Environnement montrent que des pesticides sont détectés dans l'eau brute de 27 rivières où on puise de l'eau destinée à la consommation humaine. Des sources d'eau souterraine, des puits privés pour la plupart, présentent aussi des traces de pesticides.

Évidemment, plus on se trouve près d'une zone agricole, plus le risque de trouver des pesticides s'élève. Le rapport du ministère indique que dans les zones de culture de pommes de terre, 50% des puits privés échantillonnés présentent des pesticides. Dans les zones de vergers, c'est 40% des puits et 20% dans les zones de culture de maïs et de soya. Près des bleuetières du Saguenay Lac-Saint-Jean, les chercheurs du ministère ont détecté la présence d'herbicide hexazinone dans 40% des prises d'eau échantillonnées.

Les seuils de toxicité sont basés sur l'évaluation d'un effet à long terme d'une exposition chronique aux pesticides. « Des résidus ne dépassant pas ces seuils ne devraient donc pas être dangereux pour la santé, dit le Dr Benoît Gingras, de la Direction de la santé publique de Chaudière-Appalaches, qui assistait au colloque. Mais l'incertitude vient de l'effet synergique de ces produits. Dans les eaux de surface, le ministère a déjà trouvé jusqu'à 20 pesticides différents. On ne connaît pas les effets sur la santé humaine de ces cocktails, même si individuellement chacun est présent en quantité moindre que les normes acceptées.
 

Original de cet article : CyberSciences.

Catherine Dubé


 

   La Radioactivité, même naturelle,
 même à faible dose, est dangereuse. 

 

La radioactivité, même naturelle, même à faible dose est dangereuse. Elle cause des maladies telles que cancers, leucémies, malformations congénitales… Plus grave, des études en Grande Bretagne, sur des travailleurs du nucléaire, ont montré qu'un père soumis régulièrement à une faible radioactivité, transmet à ses enfants, via les spermatozoïdes, des risques anormalement élevés d'attraper des maladies liées à la radioactivité. Contrairement à d'autres polluants, la radioactivité n'a ni goût, ni couleur, ni odeur.

L'énergie nucléaire engendre des déchets En France, les gouvernements successifs ont choisi de produire massivement l'énergie dont le pays a besoin au moyen de centrales nucléaires. Ces centrales produisent des tonnes de déchets radioactifs, donc dangereux pour la santé.

 

Contrairement à ce que prétend la COGÉMA dans ses pubs télévisées, le combustible nucléaire n'est pas recyclé, il est retraité, c'est-à-dire que l'on trie les divers éléments radioactifs en fonction de leur nocivité. Ces déchets ne cessent de s'accumuler. Une partie seulement est mélangée avec du combustible neuf, qui va donner de nouveaux déchets.

L'ANDRA et ses projets Comme les déchets nucléaires s'accumulent il faut bien les stocker quelquepart.

Parce que ces déchets sont bien plus que de simples ordures, l'État français a créé une agence chargée de s'en occuper : l'ANDRA (Agence Nationale des Déchets RAdioactifs).

Stockage en surface - Stockage souterrain

Aucune des deux possibilités de stockage ne supprime le danger lié à la radioactivité.

Le stockage en surface revient à montrer le danger, ainsi personne n'oublie qu'il existe et qu'il faut prendre de nombreuses mesures de sécurité, de surveillance et de maintenance. Et parce que le danger restera visible, les gens de science ne l'oublieront pas et continueront de chercher le moyen de réduire la radioactivité des déchets, jusqu'à ce qu'ils le trouvent. Le stockage souterrain, lui, consiste en l'inverse : on dissimule le danger sous des tonnes de terre et de béton, mais on ne le supprime pas. Et comme on ne peut plus remonter les déchets enfouis, on n'a plus besoin de chercher un moyen de les rendre inoffensifs, on économise ainsi le coût de décennies (peut-être de siècles!) de recherches. Et tant pis pour les générations futures qui, un jour sinistre, découvriront, parcequ'une fuite mortelle de radioactivité se sera produite, que des déchets nucléaires hautement radioactifs auront été enterrés mille ans, ou cent mille ans, ou un million d'années auparavant. (Jugera-t-on un jour les responsables de la filière nucléaire pour empoisonnement, voire pour crime contre l'humanité?)

Hélas (mais en eussiez-vous douté ?), la préférence de L'ANDRA va à la pire des solutions : le stockage souterrain, profond et irréversible.

 

Les trois sites de stockage Si vous habitez dans un rayon de 100 km autour d'un de ces sites, vous n'avez pas de chance : si vous ne faites rien, votre région sera choisie pour servir de "laboratoire" au stockage souterrain de déchets nucléaires hautement radioactifs. Si vous habitez près de Bure en Haute-Marne, sachez que l'ANDRA a déjà commencé les travaux (il est vrai que D. Voynet, la ministre des faux écolos du parti Vert, leur a donné son accord!). De ce fait, si vous n'agissez pas contre ce projet, vous allez devenir un(e) cobaye. Et vos amis, vos enfants, vos parents aussi…

N'OUBLIONS PAS LE RISQUE DE FUITE DE RADIOACTIVITÉ LORS DU TRANSPORT! Les déchets devront être acheminés sur des trajets parfois longs. Une partie au moins devra s'effectuer par la route. Qu'adviendra-t-il si un camion est victime d'un accident? Un nouveau Tchernobyl? Quand au rail, il n'est pas sûr non plus. Les autorités ont d'ailleurs admis, au mois de Mai 1998, que des wagons de chemin de fer ont été gravement contaminés en plusieurs endroits de France, lors du transport de produits radioactifs issus de diverses centrales nucléaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter qu'il a fallu au moins 8 ans pour que le scandale éclate! (Un document interne à la Cogéma et à EDF prouve que ceux-ci savaient depuis 1990 que leurs transports radioactifs fuyaient. Malgré cela les wagons du cancer ont continué à circuler!)

Ce que vous pouvez faire contre les décharges nucléaires Vous pouvez manifester votre opposition à l'idée de devenir un cobaye de l'industrie nucléaire. Vous pouvez aussi et surtout diminuer votre consommation d'électricité nucléaire, car là est la principale origine des déchets qui vous menacent. (Pour plus de détails sur les moyens simples de réduire sa consommation, voyez la Lettre du CIDRA de septembre 1999). Pratiquez aussi l'efficace grève du zèle. Contacter les collectifs suivants sera aussi utile :

  • Gard : Stop-Mélox : www.multimania.com/stopmox/, stop.melox.marc.faivet@wanadoo.fr. Stop Mélox c/o Marc FAIVET, St Hilaire 84560 MENERBES
  • Poitou : CLAP c/o Le Dietrich 20 rue Blaise Pascal 86000 POITIERS Limousin : CLADE, 6 rue porte Panet, 87000 LIMOGES, CLADE-Limousin@wanadoo.fr, Tél : 05 55 32 40 87
  • Vosges : CIDRA, C/O Aloïs Durand, 3 Groupe Ellen 88000 CHANTRAINE Tél : 03 29 64 24 51 Fax : 03 29 39 50 43 http://www.multimania.com/resister/CIDRA/ aldur@planete.net
  • Meuse, Meurthe & Moselle : CACENDR, c/o Nathalie Conrad, 2 rue de Champougny, 55140 MAXEY sur VAISE cacendr@wanadoo.fr
  • Paris : Comité Stop-Nogent,C/O Nature & Progrès, 49 rue Raspail 93100 MONTREUIL Tél : 01 42 93 96 25 (répondeur) stop.nogent@wanadoo.fr http://www.multimania.com/stnogent/

Ces collectifs vous donneront tous les renseignements que vous souhaitez. Mais, si vous voulez vraiment agir pour ne pas devenir un(e) cobaye, n'oubliez pas que ces collectifs ont besoin de votre adhésion. Toutefois avant d'adhérer, vérifiez bien que vous n'allez pas en fait soutenir des partis politiques ou des syndicats nucléaristes (PS, PC & CGT pour ne pas les nommer, auxquels il faut désormais ajouter les Verts), certains collectifs dont nous ne donnons pas les adresses (National avec la Cordination contre l'enfouissement des déchets radioactifs, Meuse avec CDR et Vosges avec le CENDR surtout , mais peut-être aussi Haute-Marne avec le CEDRA) semblant hautement infiltrés et, de ce fait, manipulés. Par ses statuts et par la vigilance de ses adhérents, le CIDRA est protégé contre ce genre d'infiltrations malsaines.

Plus les collectifs authenthiquement anti-nucléaires compteront de membres et plus ils pourront s'opposer aux projets de l'ANDRA, et empêcher ainsi la réalisation des décharges-laboratoires!

Ne pas agir contre l'implantation des décharges nucléaires, c'est s'en faire complice.

Source: CIDRA





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Centre d'information sur l'Energie et l'Environnement

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