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Norway |
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Aftenposten
190 000 ex., Norvège, quotidien. Le “Courrier du soir” est né en 1860. La
même famille, les Schibsted, en dirige les destinées depuis plus de cent
trente ans. Indépendant de droite, Aftenposten est lu par près d’un
Norvégien sur quatre.
http://www.aftenposten.no/ “Quand
nous avons lancé notre site web, en été 1995, comme un supplément à notre
version papier, nous ne savions pas que cela prendrait une telle ampleur”,
explique Trygve Monsen, l’un des responsables d’"Aftenposten Interaktiv".
De fait, le site enregistre entre 60 000 et 120 000 connexions par jour.
“Un succès si l’on considère l’audience limitée que représente la
Norvège.” C’est en multipliant des rubriques qui n’existent pas, faute
d’espace, dans la version papier que les promoteurs d’"Aftenposten
Interaktiv" espèrent multiplier les chiffres de connexions.Les pages
concernant la capitale sont facilement repérables et elles offrent toutes
les bonnes adresses. |
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Dagbladet
240 000 ex., Norvège, quotidien. Journal norvégien de référence et de
centre gauche, “le Quotidien” a été créé en 1869.
http://www.dagbladet.no/
Comme la plupart de ses confrères, le "Dagbladet" a développé une
édition électronique très complète et de belle facture, l’objectif étant
d’augmenter l’audience du journal en Norvège et au-delà des frontières
nationales, puisque le pays est l’un des plus branchés de la planète. Une
grande partie des articles de la version papier est disponible sur le web.
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Dagsavisen
47 000 ex., Norvège, quotidien. Fondé en 1884 sous le nom d’"Arbeiderbladet"
(Le quotidien des travailleurs), le quotidien d’Oslo a joué un rôle
important dans la vie politique du pays en raison de ses relations
étroites avec le Parti socialiste norvégien. En 1996, il change de nom
pour devenir le "Dagsavisen", “Les nouvelles du jour”. Toujours à gauche,
il publie depuis septembre 1997 un supplément dominical.
http://www.dagsavisen.no/
L’arrivée du "Dagsavisen" sur la toile mondiale a coïncidé avec le
lancement de son supplément dominical, en septembre 1997, l’objectif étant
d’élargir le lectorat d’un journal qui vivait une seconde jeunesse. En
revanche, pour pouvoir lire l’intégralité des informations sur le Net, les
internautes devront débourser environ 290 FF.
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(Liste provenant originellement de
Courrier International).
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